Titre - présentation du parc
Prendre un bain de forêt, en plongeant dans la nature, ça crée les plus beaux moments.
Sous-titre - présentation du parc

Les parcs et réserves du Québec sont un générateur d’émotions. On se bâtit des souvenirs multisensoriels. On se laisse emporter par le parfum des sous-bois en randonnée. On boit son café matinal en admirant la brume légère qui se lève sur le lac ou la neige accrochée aux sapins. Chaque saison comporte son lot d’aventures pour raconter les plus belles histoires.

Saisons

Saisons - description
On profite des parcs et réserves toute l’année. Chaque saison a son charme : les activités changent, mais le plaisir de jouer dehors est le même.

Le saviez-vous?

Le saviez-vous ?
Le parc du Mont-Tremblant est le plus grand (1 500 km2) des parcs québécois.

À découvrir absolument

Parcs nationaux du Québec, du Canada ou réserves fauniques? On vous explique!

Sépaq – parcs nationaux du Québec

On parle toujours de nos parcs au superlatif. Oui, oui, on en est fier, mais honnêtement, c’est vrai qu’ils ont ce petit quelque chose de… plus : plus grands, avec de plus belles plages, de plus beaux ciels, plus de fossiles, plus de plaisir, plus de souvenirs. On compte 29 parcs nationaux québécois entretenus par la Société des établissements de plein air du Québec, la Sépaq.

Chaque parc étant une aire protégée, les activités de découverte mettent en valeur les paysages, la biodiversité de son écosystème. Selon le lieu, on peut nager, marcher, skier, pédaler, observer le ciel, et dans tous les parcs, on peut rêver : sous une tente ou dans le confort d’un chalet.

Les parcs nationaux du Québec comptent plus de 200 sentiers pédestres.

Parcs nationaux du Canada

Comme la Sépaq, Parcs Canada a aussi pour mission de protéger des écosystèmes d’exception. On est chanceux, ça nous donne quatre terrains de jeux supplémentaires autant éducatifs que ludiques.

Mauricie, Forillon, Gatineau et l’archipel de Mingan, voilà le joli quatuor. Ah oui, il y a aussi le parc marin du Saguenay–Saint-Laurent. Celui-là est en garde partagée. La Sépaq et Parcs Canada se partagent la paternité de ce fleuron national.

On observe plus de 1 800 espèces animales et végétales au parc marin.

Entre roc, forêt et eau, il protège l’estuaire et le fjord et leur riche biodiversité. La qualité des observations de la faune marine en fait un endroit de prédilection pour voir les baleines. En camping, le soir, au bord du feu illuminant la nuit, le chant des huards ou des baleines nous berce jusqu’au petit matin.

Sépaq – réserves fauniques

Au nombre de 13, elles sont aussi administrées par la Sépaq. Ainsi, tout comme dans les parcs, on peut y rester actif en pratiquant une tonne d’activités de plein air. Oui, c’est le temps de jouer dehors. En été, on pratique le canot, le kayak ou la randonnée. En hiver, ski de fond et raquette se prêtent bien à de courtes ou longues sorties. On peut aussi simplement rêver à la suite de nos vacances le temps de lâcher prise au bord d’un lac.

On a 500 chalets et camps rustiques, en plus des terrains de camping.

Les réserves fauniques sont un heureux mélange de développement durable et d’aventures écotouristiques. Contrairement aux parcs, des activités de foresterie et la chasse y sont autorisées sans épuiser les ressources. Ah oui, c’est dans la réserve faunique de Port-Cartier–Sept-Îles que se trouve le lac le plus profond du Québec : le lac Walker avec ses 280 m de profondeur et 33 km de longueur.